En un coup d’œil
Nosy Be accélère : 80 km de routes flambant neuves fluidifient l’accès à l’île, tandis que Madagascar est promu « pays pilote » de la transition énergétique. Ces deux annonces créent un terrain idéal pour des investissements touristiques durables — et c’est exactement ce que vient incarner le programme AHUVI Golf & Spa Resort.
Ce qui change concrètement
1. Infrastructures : la vitesse devient un atout
La réhabilitation de près de 80 km de voiries sous l’égide du projet PIC financé par la Banque mondiale réduit les temps de trajet jusqu’à trois fois et relie plus efficacement l’aéroport, le port et les plages de Nosy Be midi-madagasikara.mg. Des études Banque mondiale montrent que des routes comparables ont déjà fait grimper les revenus locaux et le flux touristique sur d’autres corridors malgaches worldbank.org.
2. Énergie verte : un cadre fiscal incitatif
Madagascar a été choisi parmi les pays pilotes d’un programme international de décarbonation, ouvrant la voie à des subventions et à des incitations fiscales pour les projets basés sur le solaire, l’hydraulique ou les mini-réseaux intelligents midi-madagasikara.mg.
Pourquoi est-ce une bonne nouvelle pour AHUVI !
- Accessibilité express : l’aéroport de Fascène se trouve désormais à moins d’une heure des futurs SeaFair Villas, Signature Lodges et Sky Villas.
- Charges d’exploitation maîtrisées : la priorité nationale aux énergies renouvelables renforce le business-model à faible empreinte carbone d’AHUVI (solaire + récupération d’eau).
- Montée en gamme : routes et électricité fiable attirent la clientèle long-courrier à fort pouvoir d’achat, cœur de cible du resort.
- Confiance investisseurs : adossé à Saint-Gobain, Egis International, Socotec et Allianz, AHUVI bénéficie d’une garantie décennale et d’un contrôle qualité international dès la pose de la première pierre.
Entre infrastructures modernisées et révolution verte, Nosy Be passe du charme exotique au statut de hub touristique durable. AHUVI Golf & Spa Resort en est la vitrine — une occasion rare pour les investisseurs de s’ancrer dans la prochaine success-story de l’océan Indien.